Avant de partir en vacances, prenez le bus hybride !

Permettez-moi de vous souhaiter un bel été et surtout de vous faire part de la dernière décision prise au sujet de la motion au sujet d’une « Politique volontariste pour des véhicules de transports publics propres ».
Comme d’habitude le travail en commission fait évoluer les éléments suite aux arguments du Conseil d’Etat. Tout avait été réfléchi et bien sûr que la motion est trop lourde. C’est tout de même avec joie que la motion est transformée en postulat.

Ce qui me fait le plus plaisir dans ce dossier, c’est que la ligne de bus traversant Bassins et le Pied du Jura entre Nyon et St-George voit circuler un bus hybride.

GENIAL pour l’environnement et bravo à cette prompte réponse.

C’est une petite victoire. Il faut poursuivre pour que la propulsion toute électrique soit limitée car c’est une hérésie. Il faut actuellement des centrales nucléaires pour garantir leurs alimentations et surtout le traitement des déchets n’est pas résolu.

Compléments à la motion « Adaptation de la LPIC pour soulager rapidement les Vaudois et leurs élus de proximité »

En date du 10 avril 2019, la motion DLPIC a été présentée en plénum.

Pour mémoire, il faut rappeler que le décret de la loi sur la péréquation intercommunale s’applique :

  1. pour la période 2012 à 2018
  2. une prolongation est faite pour 2019.

La réflexion qui a engendré cette motion, est basée sur les éléments suivants :

  • la nouvelle péréquation est annoncée pour 2021 au plus vite (soyons raisonnables 2022 => exploit)
  • dès que des chiffres sortiront de la nouvelle mouture de péréquation, le réflexe des élus sera de regarder l’effet sur leur commune et commencera la valse des insatisfaits.
  • Quelque soit le système de répartition des finances mis en place, c’est comme le système scolaire les « bons » resteront bons et les « moins bons » seront moins bons. Pas besoin de faire un dessin pour le volet financier, les aisés resteront aisés et crieront forcement au loup.
  • que faire pour les années 2020, 2021 et peut-être 2022 pour établir les budgets communaux si le décret n’est pas voté par le Grand Conseil
  • les communes tirent la langue sous les charges intercommunales et les conséquences des associations de communes qui amplifient la problématique des finances communales sans soucier des impôts à prélever sur le ménage communal pour atteindre les objectifs parfois délirants
  • les élus mélangent les problèmes de facture sociale et de péréquation.

Le Grand Conseil a bataillé des heures pour obtenir une remise de 50 millions pour les communes mais :

Une application stricte du décret permettrait d’alléger les finances des communes pendant les 2 ou 3 ans de flou entre RFFA et RIE VD soit près de 60 millions et surtout une stabilité dans les effets pervers du jeu des investissements communaux pris en considération dans la péréquation.

Ces tableaux devaient accompagner mon complément de manière plus didactique et moins technique. Malheureusement un petit problème de communication a mis à mal mon explication.

 

Nous constatons que la facture sociale augmente de 1.18 points d’impôts en 4 ans.

Dans le même laps de temps, la péréquation directe augmente de 1.45 points d’impôts. Pour mémoire, la péréquation directe concerne que les communes. Le Canton ne participe pas à son alimentation financière. C’est une affaire de communes contrôlée par l’Etat contre rétribution.

Le but de la motion consiste a allégé la charge des communes en appliquant le décret DLPIC futur correctement.

Il faut savoir que la réponse du Conseil d’Etat à l’interpellation à ce sujet est assez surprenante. Elle démontre qu’il y a un problème mathématique dans son application. A un examen scolaire, l’échec serait prononcé.

Le tableau suivant indique les éléments posant problème.

Le décret est clair. Les dépenses communales à prendre en compte sont limitées à un taux fixe de 75% (colonne verte 75%).

Or chaque année le Canton doit abaisser ce taux à une valeur inférieure (colonne jaune) pour ne pas prélever plus que les 4 points d’impôts ou 4.5 points d’impôts en 2019 pour répartir cette somme entre les communes.

L’ACI ne prend pas ses responsabilités pour affiner les valeurs prises en considération afin de réduire les effets instables entre acompte et décompte de la valeur du point d’impôts. (colonne Année montant de 2016 appliqué pour 2018 et finalisé en 2019)

Ce qui fait que la réponse au problème d’examen posé par le DLPIC n’est pas la bonne ! C’est un échec que même la nouvelle péréquation ne résoudra pas.

Pourquoi ?

Le DLPIC ne dit pas qu’il faille prendre des valeurs inférieures à 75% mais égales à 75%.

L’autre critère du DLPIC n’est pas respecté puisque des communes se voient ristourner près de 40 points d’impôts alors que le texte dit au maximum 4.5 points d’impôts.

Pour mémoire, l’interpellation prenait un exemple d’une commune possédant une valeur de point d’impôt de 9’300 CHF. Le total annoncé de ses dépenses est de 560’000 CHF. Le 75% est pris en charge soit 407’000 CHF. Le retour de péréquation est de plus de 40 points d’impôts.

Est-ce l’esprit de la péréquation qu’un investissement communal pour une route, finissant en cul-de-sac, soit pris en compte sur un exercice comptable et financer par l’ensemble des contribuables vaudois ?

En ces temps difficiles pour les communes, il est crucial de se montrer solidaire sans biaiser la volonté de la loi de ne pas provoquer des disparités évidentes et connues de tous les partenaires.

De ne pas accepter cette motion ou de la laisser sans réponse rapide pour 2020 est dangereuse.

Par principe dès que nous abordons le sujet « péréquation », il y a d’abord une lassitude puis cela engendre un phénomène de rejet.

De ne rien entreprendre favorisera les « combines » pour augmenter les dépenses thématiques telles que :

  • participation aux frais d’étude d’une route subventionnée pas l’Etat
  • investissement intercommunal à des objets éloignés des routes ou liés aux transports publics ou scolaires mais pouvant être ajoutés aux dépenses thématiques sans contrôle de la commission paritaire COPAR

sans oublier que l’humain ne comprend pas la péréquation

mais sait en jouer !

L’introduction du terme « communaux » dans le DLPIC permet aux communes du canton de diminuer de 1.8 points d’impôts l’alimentation de la péréquation directe. C’est une diminution de charges supérieure à l’augmentation de la facture sociale.

Pouvoir gérer l’affectation de 1.8 points d’impôts communaux,

cela s’appelle l’autonomie communale ! 

Trop d’espoirs sont mis dans la nouvelle péréquation. Elle sera tout aussi difficile à comprendre par le  fait que des critères devront être définis. Actuellement on occulte ces difficultés comme chat sur braises pour éviter de froisser ou de créer de faux espoirs.

Appel à la grève du Natel 24 heures par semaine en 2019

Si certains considèrent comme ridicule cette action, ils ont raison. Mon but consiste à faire comprendre les inepties de multiples théories simplistes entendues, lues çà et là puis véhiculées par les médias.

Il s’agit de faire prendre conscience aux personnes que ce ne sont pas des lois, des actions des autres qui vont résoudre le problème mais d’

Inculquer le réflexe de l’utilisation rationnelle de nos appareils afin de limiter les effets énergétiques sans aller à une décroissance absolue.

Aujourd’hui, l’intégrisme de la défense du climat passe par la croyance absolue de la diminution du dioxyde de carbone CO2 en faisant fi des particules fines, des déchets nucléaires, etc.

Crions haro sur le baudet, non sur les « bagnoles diesel E6 », les avions, les paquebots, les trains de nuit (inutilisés pendant 300 jours et subventionnés par l’Etat) mais ne réfléchissons surtout pas à nos actes journaliers.

C’est très réducteur et cela nous amène à des paradoxes dont certains milieux économiques ne manquent pas de communiquer à leurs avantages.

L’exemple du natel permet d’imager le paradoxe auquel la société est confrontée.

Nous avons une population qui vit au travers de la virtualité des réseaux sociaux et de la communication. La couverture du réseau sans fil doit être performante, accessible à chaque instant et indépendamment des lieux de résidence de la personne.

Afin de garantir ces conditions, il y a besoin d’équiper des stations fixes d’antennes 5G. Il faut multiplier leur nombre en fonction des besoins et surtout des normes de protections de radiations suisses inférieures de 10 fois aux normes européennes.

  • Comment ces stations de base de téléphonie fonctionnent-elles ?
  • Sont-elles alimentées au pétrole, au charbon ou par des panneaux solaires ?

NON, elles sont connectées au réseau électrique des distributeurs d’énergie. Elles possèdent des ventilateurs et autres éléments gourmands en puissance électrique en fonction de la quantité de trafic à gérer et par conséquence en énergie électrique.

Le résultat des courses à la communication de dernier cri, pour regarder son film en mobilité absolue, est que :

  1. Quelque-soit la technologie utilisée 4G, 5G, l’augmentation des stations de base provoque une augmentation d’énergie électrique pour les distributeurs suisses.
  2. L’obsolescence préprogrammée de vos appareils de communications, construits avec une farouche volonté de ne pas réutiliser les accumulateurs et composants même dans une même marque (connecteur par exemple), engendre une augmentation de déchets toxiques.

Le point 1 est avéré. En 2018, la production d’énergie nucléaire a ainsi augmenté d’un quart par rapport à l’année précédente et couvre 40% de notre besoin énergétique électrique.

La société Swissnuclear a communiqué le 4 février 2018, je cite :

« Les centrales nucléaires suisses sont restées un pilier de l’approvisionnement électrique suisse – sûr et respectueux du climat, notamment en hiver… La mise à profit de cette vapeur de chauffage a permis d’économiser 80’000 tonnes d’émissions de CO2 par rapport à la combustion de fuel qui aurait été nécessaire pour produire la même quantité d’électricité. »

La communication est un art !

Comment osez faire croire aux bienfaits du nucléaire au travers du CO2.

Quid des déchets radioactifs et du démantèlement des centrales !

NON c’est insupportable.

Le point 2 est une certitude. L’arrivée de la technologie 5G va nécessiter de changer d’appareils téléphoniques pour bénéficier des avantages INDISPENSABLES de la gestion de votre drone personnel pour … je ne sais plus quelle utilité, la gestion de votre voiture électrique, non du transport public, tiens électrique mais encore plus de nucléaire peut-être !

Les accumulateurs des anciens appareils seront récupérés.

Mais savez-vous réellement ce que nous en faisons ?

En conclusion, permettez-moi de vous poser juste une question en relation uniquement avec votre consommation d’électricité.

Comment allez-vous économiser 40% de votre besoin en électricité si les distributeurs d’électricité arrêtent les réacteurs de leurs centrales nucléaires suisses le 31.12.2019 ?

Le lien suivant https://fr.surveymonkey.com/r/appel2019stopnatel permet de classer les mesures de 1 à 8. 1 étant la meilleure mesure.

A Les politiciens doivent faire une loi, je ne sais pas laquelle mais une loi

B Les distributeurs achètent de l’énergie en France (72% à base de nucléaire)

C Les distributeurs augmentent leurs tarifs

D Les politiciens font une loi qui obligent les maisons et immeubles d’avoir des prises électriques pour les voitures et les natels sur des panneaux solaires (attention au temps de charge)

E Les politiciens font une loi imposant le couvre-feu électrique de 22h à 6h.

F Les constructeurs font un moratoire aux nouveaux appareils pendant 3 ans

G L’Etat impose la décroissance en augmentant les impôts pour l’augmentation du chômage de la branche électrique

H Le citoyen se raisonne dès aujourd’hui.

 

Sources.

Swissnuclear est une société à responsabilité limitée.

Les missions de cette société consistent :

  • à défendre, coordonner et représenter les intérêts communs des membres dans le domaine nucléaire (politique, communication, gestion des déchets, recherche et formation) mais aussi dans d’autres questions techniques en rapport avec les autorités nationales et internationales, les organisations et associations, la sphère politique et le grand public;
  • à s’engager en vue de l’optimisation des conditions-cadres internes et externes de l’énergie nucléaire en Suisse;
  • à encourager un dialogue objectif sur l’énergie nucléaire au sein de la branche, et de la société;
  • à soutenir le fonctionnement sûr et durable des centrales nucléaires, ainsi que les autres phases de leur cycle de vie;
  • à coordonner les activités communes à toutes les centrales nucléaires, telles que :


▪ la recherche et la formation

▪ le maintien de compétences et l’échange d’expériences,

▪ la communication,

▪ la représentation au sein de commissions internationales,

▪ la stratégie de gestion des déchets.

 

En ayant comme objectif que :

L’énergie nucléaire occupe une place importante dans l’approvisionnement électrique de la Suisse et restera à l’avenir également, dans le cadre de la Stratégie énergétique 2050, un pilier central de la sécurité de notre approvisionnement. swissnuclear engage son action en faveur de conditions sociétales, politiques et économiques favorables pour l’énergie nucléaire en Suisse et pour une gestion appropriée des déchets radioactifs.

  • Production d’électricité nucléaire 2018: Les centrales nucléaires suisses enregistrent une forte hausse de leur production d’électricité
  • février 2019
  • En 2018, les cinq réacteurs nucléaires suisses ont produit 24ˈ492 gigawattheures (GWh) nets d’électricité. La production nucléaire a ainsi augmenté d’un quart par rapport à l’année précédente (19’548 GWh). Les centrales nucléaires suisses ont fourni une nouvelle fois près de 40 pour cent de la production d’électricité indigène et sont restées un pilier de l’approvisionnement électrique suisse – sûr et respectueux du climat –, notamment en hiver.
  • Au total, en 2018, les centrales nucléaires suisses ont produit 24ˈ492 GWh nets d’électricité (2017: 19ˈ548 GWh). Ce chiffre tient compte également des 96,6 GWh que les tranches nucléaires de Beznau (22 GWh) et de Gösgen (74,7 GWh) ont injectés sous la forme de chauffage urbain à destination des bâtiments d’habitation et des entreprises de la région. La mise à profit de cette vapeur de chauffage a permis d’économiser 80’000 tonnes d’émissions de CO2 par rapport à la combustion de fuel qui aurait été nécessaire pour produire la même quantité d’électricité.

 

http://www.swissnuclear.ch/fr/missions-et-objectifs-_content—1–1016.html

http://www.swissnuclear.ch/fr/production-delectricite-nucleaire-2018-les-centrales-nucleaires-suisses-enregist-_content—1–43–402.html

 

KLIMADEMO 2.2.2019

En me promenant à Berne samedi passé, j’ai eu la chance de discuter avec un groupe de jeunes Suisses Alémaniques de la prochaine journée KLIMADEMO du 2.2.19.

Il est intéressant de comparer les revendications de l’autre côté de la barrière de röstis comme les vieux peuvent dire.

C’est un peu comme les gilets jaunes en France, une diversité de constats, une multitude d’argumentations dont la Suisse n’est en définitive pratiquement pas en mesure d’inverser la tendance.

Oui le monde est inquiétant, comme il l’est depuis des siècles.

Ce qui change, c’est les impressions que le monde de la finance et des GAFA sont incontrôlables, pour les politiciens désuets que nous sommes, dès que nous ne sommes plus à l’école ou à l’université.

Le terrain de jeu des financiers et des GAFA n’a pas de territoire autre que le MONDE. J’y participe en me connectant et en répondant immédiatement à toutes les sollicitations grâce à mon téléphone dernière génération. Ce mobile qui équipe toutes les couches de la population mais d’abord les jeunes, ensuite les plus âgés et très âgés se contentant d’avoir des appareils avec photographies pour voir leurs petits-enfants à l’autre bout du monde.

Alors de cette rencontre bernoise, est-ce que la protection du climat doit occuper mon esprit que le 2.2.19 ?

Ai-je besoin des politiciens pour me discipliner à utiliser parcimonieusement mon impact énergétique ?

Cessez de dire que les politiciens doivent faire quelque chose ?

Vous savez très bien que les lois ne sont pas proactives !

J’invite toutes les personnes à manifester pour le climat tous les samedis de 00h00 à 24h00 de l’année 2019 en n’utilisant pas leurs téléphones portables, leurs tablettes, leurs accès à internet pour relever leurs courriels, leurs comptes twitter, facebook et autres, à part les médecins, urgentistes et travailleurs contraints.

Il sera scientifiquement possible de mesurer l’impact écologique d’une mesure pragmatique et surtout sans les politiciens.

La révolution ne s’est jamais faite avec les politiciens car justement on n’attend rien du politicien. Il viendra après pour établir un cadre à vos revendications justifiées au demeurant.

Didier Lohri

Militant de la 1ère génération contre Crey-Malville et Kaiseraugst

Militant de l’acte écologique de proximité.

Rapport d’activité d’élu communal 2018 pour l’assemblée des Verts du district de Nyon

Madame, Monsieur les Co-Présidents,

Il m’a été demandé de faire un rapport d’activité en relation avec la tâche communale.

C’est un point extrêmement sensible pour ma part. Sans dévoiler de secrets, il me tient à préciser que je suis un élu communal sans bannière partisane.

C’est justement la raison pour laquelle je tiens à garder mon statut de sympathisant par respect des citoyens de Bassins qui m’accordent, depuis plus de 25 ans maintenant, leurs voix lors des élections communales. Tant que je serai en fonction à Bassins je ne changerai pas de ligne.

Ce statut fait que ma participation au mouvement des Verts s’élève à 30% des jetons de présence contre 20% pour les membres.

Les événements relayés par la presse ne sont pas forcément la vérité et même pas du tout. Je ne tiens pas à revenir sur des éléments qui ne feraient pas avancer les actions à mener pour nos citoyens.

Je résumerai l’action par ces quelques points :

Installation solaire dans les pâturages

À l’aide de 12 pompes solaires sans batterie, les chalets d’alpage ont bénéficié d’un volume de 1’600 m3 d’eau soit l’équivalent d’environ 60 transports de camion 28 tonnes sur les routes. Je ne pense pas que l’action menée par le canton pour amener 100 m3 avec camion depuis le lac soit justifiée. C’est d’ailleurs pour certes raison que j’ai déposé une interpellation demandant au canton d’avoir une réflexion complète sur un plan général d’alimentation des eaux sur les alpages afin d’éviter ces interventions peu rationnelles.

Il faut savoir que nous avons dû prendre 600 m3 de notre réseau d’eau potable inférieur pour l’amener dans les alpages. Pour l’anecdote, il a fallu compenser 300 m3 d’une fuite provoquée par un camp de scout qui a omis de refermer les robinets. D’où l’utilité de participer à la start-up de lancer des satellites basse altitude pour contrôler les points d’eau sans contrôle.

Couloirs écologiques

La commune de Bassins a participé au cofinancement des couloirs écologiques du secteur de la région concernée par cette action. Nous avons payé selon la répartition de la valeur de points d’impôts. Ces couloirs sont des actions concrètes et nous les soutenons.

Certification FSC

La commune de Bassins a mandaté le groupement forestier de faire certifier les forêts de Bassins selon les standards FSC, PEFC pour les années 2018 à 2023.

Protection des espèces de libellules en voie de disparition à la Tanne à l’Ours

Un contrat avec le canton a été signé pour assurer l’entretien d’une zone protégée et présentant des tufières. Ces dernières permettent de sauvegarder les libellules.

Problématique de l’eau de boisson

La commune de Bassins dispose d’une capacité et de réserves hydrauliques importantes. Le plan général de distribution de l’eau et les concessions accordées par le canton démontrent que nous devons chercher à alimenter gravitairement les autres communes. En cette année 2018, vous avez pu lire dans la presse que Genolier – Arzier avaient des problèmes de ressources en eau. Après avoir testé les liaisons, nous nous sommes heurté à une problématique nouvelle. Le prix de l’eau SAPAN pompée depuis le lac, traitée et poussée jusqu’à Arzier coûte 9 fois moins cher que le prix réel de l’eau en gravitaire.

Il faudra attendre encore quelques années pour que le réchauffement climatique ne laisse plus le choix de procéder avec clairvoyance à l’hydratation de tous les habitants de la région.

Bostryche et chauffage à bois

L’entretien de la forêt et le marché du bois sont extrêmement liés. Avec la sécheresse, le bostryche a fait une « poussée ». Le marché du bois est donc saturé par une grande quantité de bois à écouler. Le prix est en chute libre. La commune afin de ne pas saturer le marché du bois, a diminué sa capacité de coupe légale annuelle de 1000 m3 (total possible 6150 m3). Cette disposition ne peut pas se reproduire l’année prochaine car il faut bien entretenir la forêt. C’est pour cette raison que la solution de bois de chauffage doit être développée en favorisant la transformation en plaquette (marché court) et non pas en pellet avec une traçabilité absolument impossible à suivre.

C’est pour cette raison que plusieurs interventions ont été faites dans le sens d’utiliser le bois suisse mais avec une traçabilité garantie.

Didier Lohri

Bassins, le 5 décembre 2018

NB

définition gravitaire

Phénomène par lequel deux corps pesants quelconques s’attirent mutuellement; force qui fait que les corps tombent, que les planètes décrivent des orbites ou que les fluides s’écoulent entre 2 points sans apport d’énergie

Rapport d’activité Grand Conseil 2017-2018 pour l’assemblée des Verts du district de Nyon

Madame, Monsieur les Co-Présidents,

Après 16 mois d’activités réelles au Grand Conseil Vaudois sous l’étiquette des Verts, permettez-moi de faire une synthèse des différents objets déposés et autres activités parlementaires.

Le groupe des Verts à Lausanne m’a accordé la place de commissaires dans les commissions permanentes suivantes :

  • CIDROPOL
  • CTSI

CIDROPOL est une nouvelle commission permanente dont le but est d’étudier toutes les demandes liées aux droits politiques.

Les travaux ont porté sur la loi sur les fusions, sur les droits politiques, les lieux de résidence des élus. Le problème de domicile de l’élu au niveau cantonal est débattu. Doit-on habiter le district pour être élu dans ce dernier ? La question est vaste et dans le but d’avoir une logique à tous les échelons politiques. Doit-on habiter la commune pour être exercé la fonction de municipal si on peut justifier que l’on travaille dans cette commune ?

CTSI est une commission qui traite toutes les demandes liées à l’informatique cantonale. Je suis dans la commission de la cybersécurité et de l’informatique transversale. J’ai fait partie du groupe de testeur du vote électronique.

A titre plus général et en fonction de mes disponibilités et des dossiers que je maîtrisais le plus, je me suis concentré sur les thèmes de prédilection qui ont été et qui resteront les suivants :

  • Péréquation
  • Aménagement du territoire
  • Accueil de jour
  • Traçabilité du bois
  • Gestion des ressources hydrauliques
  • Sujets traitant des aspects canton-commune par exemple SDIS
  • Autres points touchant la fiscalité des citoyens vaudois.

Ma façon de travailler consiste à poser une question par mois. L’avantage de cette stratégie consiste à disposer d’une réponse dans la semaine du Conseil d’Etat et en fonction de la teneur du commentaire, cela peut engendrer des motions ou postulats.

Le point fort de ce début de mandat est la prise en considération du postulat AVASAD. Ce postulat consiste à payer la part communale des soins à domicile à la valeur du point d’impôts et non plus en francs par habitant.

Ce postulat permet à 18 communes sur les 47 du district de pouvoir bénéficier d’une solidarité bien plus importante que la solidarité que vous avez l’habitude de traiter dans le cadre de Région Nyon. Sachez que cette décision prise par le Grand Conseil à un effet de solidarité de plus de 50% par rapport aux 6% de la solidarité régionale que vous connaissez par le principe du DISREN. De plus, il faut aussi comprendre que la majorité du canton est favorable à cette égalité de traitement. Je tiens à préciser que la ville de Nyon a dans un 1er temps critiqué la mesure mais a ensuite fait du rétropédalage pour s’apercevoir qu’elle s’était trompée dans son analyse. La solidarité leitmotiv largement répandu dans la région est un leurre par rapport aux 9 autres districts du canton. La région est trop petite pour lutter contre les agglomérations.

Liste des communes représentant 51’000 habitants et 50% du financement.

Arnex-sur-Nyon, Arzier-Le Muids, Bassins, Begnins, Bogis-Bossey, Borex, Chavannes-de-Bogis, Chavannes-des-Bois, Chéserex, Duillier, Gland, Grens, Nyon, La Rippe, Saint-Cergue, Signy-Avenex, Le Vaud, Vich.

Dans le but de ne pas détailler chaque dépôt effectué, permettez-moi de vous inciter à suivre mon activité parlementaire en allant visiter le site lohri-vd.ch.

Ce site ne doit pas être vu comme une action individuelle de ma part. Il faut comprendre qu’en gérant de A à Z le site, je suis plus efficient. Il me permet d’être actif sans intermédiaire et adapté à mes horaires et disponibilités.

Il faut voir ce site comme un moyen de communication autant à votre disposition qu’à la disposition du peuple qui fait remonter des informations me permettant de poser des questions ou des interpellations.

Il est évident que d’autres thèmes me sont peu familiers. Il existe à Lausanne d’autres personnes qui sont nettement plus performantes sur les thèmes comme les #balancetonporc, LGBTQI, homophobie, etc.

Je reste à votre entière disposition pour toutes questions ou compléments d’informations.

En vous remerciant de votre attention et avec tous mes vœux pour l’an nouveau.

Didier Lohri

Bassins, le 5 décembre 2018.

Au sujet de Prangins et de la Région

A plusieurs reprises j’ai été interpellé au sujet de Prangins et de ma position sur les différents articles, twitter et autres médias.

Le dernier message reçu, citant mon collègue député de Bassins, nécessite une réponse de ma part en qualité d’élu cantonal.

Ce message sur le réseau twitter ne fait que d’alimenter des polémiques inutiles.

Nous avions plutôt tendance à être d’accord sur le rôle de l’ex Conseil Régional. Mais c’est dans l’air du temps, il faut bien faire le « BUZZ » comme disent les jeunes ! D’habitude c’est le groupe politique auquel j’appartiens à Lausanne qui défend les positions non isolationnistes à défaut du parti de mon partenaire hebdomadaire qui cherche lui à démontrer l’absurdité des bilatérales ou pertes d’identité nationale ou locale.

Il m’a été possible de participer à une séance de présentation des arguments pour ou contre la région. J’estime que je ne suis pas la bonne personne pour défendre une position ou une autre dans le cadre d’un vote communal en dehors de Bassins.

En qualité de député, il me semble important de préciser que ce n’est pas un sujet à défendre à Lausanne de cette manière. Je suis un adepte des agglomérations car le district de Nyon est déjà trop petit pour nos concitoyens qui vont à Lausanne ou à Genève.

Je me permets de signaler que la lettre du Conseil d’Etat devrait être publiée en entier et non pas en faire des extraits sortis d’un contexte qui exprime bien que c’est de l’autonomie des communes et des associations de communes. La polémique sur les mendiants n’apporte pas de réponse concrète mais traduisait bien le ressenti des élus cantonaux à un problème qui ne les regardent pas.

Les élus de Prangins sont autonomes et vous connaissez mon aversion à un diktat d’ordre supérieur.

Il faut plutôt remercier les conseillers de Prangins d’avoir fait prendre conscience à la bureaucratie de Région Nyon qu’il y a le feu dans la maison.

Si Région Nyon imagine que par le choix de son soutien (non élu au niveau communal, pas représentatif de la position du Conseil Communal de Bassins qui a écouté les représentants de la Région), il rende service à la population pranginoise, espérons que cela ne soit pas le coup de trop qui braque le peuple qui se moque de la pensée de celui qui dit oui parce que l’autre dit non par principe !

 

Formation et insertion professionnelles des jeunes en difficulté

C’est avec joie et bonheur que la lecture des documents de conférence de presse du 29 mai 2018 au sujet de la formation et l’insertion professionnelles des jeunes en difficulté me réjouissent.

Madame la Conseillère d’Etat Cesla Amarelle a mis en valeur les formations de 2 ans certificatives de la Confédération appelées AFP et je l’en félicite sincèrement.

La presse a relayé ce détail des AFP. L’article du 24Heures (30.5.2018) met en exergue ces attestations de formation professionnelle.

Lors des débats au sujet du projet de loi sur l’orientation professionnelle, je m’étais fait un objectif de clarifier la notion de certificatif ou certifiant en défendant les attestations fédérales AFP. Ma démarche s’inscrivait dans le but de ne pas laisser « sur le carreau » des jeunes mal orientés. Nous sortions d’un endoctrinement très profilé sur les hautes écoles et les voies académiques.

Quel splendide virage nous prenons, J’ose croire que le résultat sera probant dans 3 ans et que les entreprises et les écoles à plein temps formeront des AFP avec enthousiasme. Ces jeunes ont besoin de vous et sont votre avenir !

Lien de mon intervention au Grand Conseil au sujet de loi sur la formation professionnelle.

 

Postulat réseaux de soins avancement du dossier

Lors de la séance du Grand Conseil du 22 mai 2018, le postulat Réseaux de Soins a été débattu.

Après le travail de la Commission, ce postulat a été modifié par le terme AVASAD afin d’être plus précis.

Permettez-moi de remercier tous les députés et le Conseil d’Etat d’avoir accepté de travailler sur cet objet.

Rien n’est acquis dans la vie mais force est de constater qu’à l’unanimité, ce postulat modifié a passé la rampe.

Si certaines personnes peuvent douter que ce postulat soit un acte vert, permettez-moi de dire que c’est une notion de développement durable pour la gent humaine. Plus longtemps nous maintenons les personnes dans leur environnement, plus la joie de vivre peut être ressentie. Le respect de l’être humain doit faire fi des aspects économiques sachant que nous sommes tous Vaudois en matière de soins prodigués sous la responsabilité de l’Etat.

Bassins, le 23 mai 2018

 

 

 

Quotidien de la Côte version électronique : Lohri l’indomptable fait sa place à Lausanne

Par Antoine Guenot

PORTRAIT Il y a une année, le syndic de Bassins avait créé la surprise en accédant au Parlement vaudois. Cet insoumis, peu adepte des carcans politiques, s’est-il adapté à son nouveau rôle de député?

C’était il y a un peu moins d’une année. A la surprise générale, Didier Lohri, bouillonnant syndic de Bassins, obtenait le deuxième siège des Verts du District de Nyon au Grand Conseil. Surprise, tout d’abord, parce que selon les pronostics cette place avait de bonnes chances de revenir à la syndique de Commugny, Odile Decré. Mais, à onze voix près, voilà qu’elle lui passait sous le nez, raflée par son colistier des hauts nyonnais.

Surprise, ensuite, parce que Didier Lohri ne semblait, jusque-là, pas du genre à rejoindre les rangs d’un groupe politique. Ni, d’ailleurs, ceux d’une institution aussi stricte que le Parlement vaudois. Insoumis, libre penseur, il l’a dit lui-même à plusieurs reprises: les carcans très peu pour lui, au risque de sortir de ses gonds.

Un député «pointu»

Et pourtant. Le trublion semble bien s’être pris au jeu, au point de se profiler comme l’un des députés les plus actifs. Interpellations, motions, postulats, questions orales, l’homme fait feu de tout bois, visiblement loin des préoccupations électoralistes. Car, lorsqu’il s’exprime, c’est souvent pour aborder des sujets techniques, touchant à la facture sociale ou à l’aménagement du territoire. Des problématiques généralement opaques pour le citoyen lambda.

«C’est tout à son honneur, commente Pierre Wahlen, président des Verts de La Côte, qui se dit satisfait de sa nouvelle recrue: «Il s’est bien intégré. Il est très présent et fait beaucoup d’interventions. Il défend bien les valeurs qui nous rassemblent.»

« Il a une forte présence. Je pense que tous les membres du Grand Conseil l’ont déjà remarqué. »

Vert, vraiment?

Langue de bois ou réalité? Ce qui est sûr, c’est que Didier Lohri ne passe pas inaperçu au sein du Parlement vaudois. Parole de députés de gauche comme de droite. «Il a une forte présence. Je pense que tous les membres du Grand Conseil l’ont déjà remarqué», confie Valérie Induni, chef du groupe socialiste au Grand Conseil et municipale à Cossonay.

Le chef du groupe UDC et municipal d’Echichens Philippe Jobin confirme: «Il pose beaucoup de questions et c’est une bonne chose. Même si parfois certaines ont déjà été discutées en commissions. Mais c’est normal, il vient d’arriver. Il ne peut pas connaître tout l’historique des séances.»

Valérie Induni nuance toutefois quelque peu l’appréciation du parti écologiste au sujet de son «poulain»: «Je ne le connais pas encore très bien mais on sent que le formatage, il ne doit pas aimer ça. D’ailleurs, sa coloration ‘‘Verte’’ n’est pour le moment pas très évidente. Ses actions touchent surtout aux finances communales et aux rapports entre communes et Canton.»

Le chef de groupe des Verts, l’Yverdonnois Vassilis Venizelos, ne l’entend pas de cette oreille. «Penser que nos membres ne doivent aborder que des questions environnementales est réducteur, s’exclame-t-il. Nous défendons un projet de société qui touche l’ensemble des problématiques, comme la fiscalité et l’aménagement du territoire. Sur ces dossiers, c’est une force d’avoir Didier Lohri à nos côtés.» Et le responsable d’ajouter qu’aucun coup de gueule n’est à signaler: «C’est tout à fait agréable de travailler avec lui.»

« Je crois qu’il y a beaucoup de légendes qui courent à mon sujet. »

Nouvelles affinités

A presque 60 ans, le syndic de Bassins aurait-il mis de l’eau dans son vin? «Non, répond tout de go l’intéressé. Je suis toujours la même ligne. Et si j’ai accepté de rejoindre les Verts, c’est parce qu’il s’agit d’un mouvement et non d’un parti.» Reste que le politicien admet s’être piqué au jeu de l’arène parlementaire. Bien sûr, parfois, la lenteur des débats l’agace. Trop de bla-bla. L’homme de terrain aimerait que certains députés en viennent plus vite au fait. Mais il s’y attendait.

Et ce qui lui plaît? «Au Grand Conseil, on a le droit d’avoir un avis différent. Ce qui n’est pas toujours le cas dans le district de Nyon, où l’on peut alors vite être perçu comme un emmerdeur.» C’est qu’à Lausanne, Didier Lohri s’est trouvé de nouveaux alliés. «Je me découvre des affinités avec d’autres élus du Pied du Jura et de l’arrière-pays, plus qu’avec ceux de mon district. Du coup, j’ai l’impression d’avoir plus de soutien pour faire passer mes idées.» Et celles de son groupe politique. Car il assure que les prochains sujets sur lesquels il s’exprimera seront plus axés «Verts».

Didier Lohri, pas si indomptable que ça? «Je crois qu’il y a beaucoup de légendes qui courent à mon sujet. Moi, tout ce que je souhaite, c’est laisser une trace en défendant les gens du Pied du Jura.»

3ème siège des Verts possible ou impossible

Avant le début de la campagne électorale, un ancien député vert m’avait contacté pour me proposer d’être candidat chez les Verts dans le but de ravir un 3ème siège et empêcher sans le nommer explicitement un 4ème à l’UDC.

Après une réflexion rapide et une analyse de la situation, il m’a été possible d’accepter sa demande en partant du principe qu’il fallait tenter de gagner une 3ème siège pour les Verts. Lire la suite

Explications de l’annonce du quotidien de la Côte

Sous une forme d’équation mathématique, il me semblait intéressant de montrer les valeurs défendues et porteuses d’avenir. Le XXIème siècle est celui des déchets et de l’or bleu.

Cette addition d’éléments donne comme résultat la défense de vos intérêts et de ceux des entreprises.

J’ose croire que les mathématiciens puristes me pardonneront cette utilisation des signes mais il s’agit d’une communication.

Il me semble important de rappeler que mes actes et réalisations sont empreints d’écologie pragmatique.

La forêt doit être travaillée pour maintenir sa fonction de poumon d’oxygène. La forêt doit être utilisée pour les constructions collectives et les appartements à loyer abordable réalisés en bois. Les déchets doivent être utilisés dans des centrales thermiques à cogénération. la forêt est une excellente protection et un filtre naturel pour nos sources d’eau potable.

J’ose croire à votre soutien car mon parcours politique me définit en fait comme un homme d’expérience et n’ayant pas peur de dire les choses de manière directe. Ajoutez-moi à votre bulletin indépendamment de votre tendance politique.

VOTEZ l’homme !

L’image contient peut-être : 1 personne, texte
 Il me faut remercier l’assemblée générale des Verts de la Côte de m’avoir accepté comme sympathisant du mouvement écologique vaudois pour aller à la pêche aux voix sur le haut du district.

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Capharnaüm de l’affichage politique

Jungle de l’affichage politique Permettez-moi de m’exprimer au sujet de l’affichage politique aux bords des routes. C’est une injustice et une inégalité de traitement que s’autorisent les élus par rapport aux autres citoyens. C’est un mépris total fait aux organisateurs de fêtes qui doivent se plier à la loi sur la réclame et procéder à […]

Comité de soutien

Vous êtes plusieurs à me demander via courriel ou sms, les raisons de mon absence de FaceBook. Après vous avoir répondu de manière individuelle, permettez-moi de vous informer  du résultat des différentes discussions. Un comité de soutien s’est constitué sous la présidence d’Alexandre. Que je remercie au passage. Accompagné de plusieurs membres, il va gérer […]

Quel est le programme défendu ?

Interpellé sur twitter au sujet de mon programme voici quelques éléments de réponses.

Vos candidats de la liste 02 des Verts de la Côte ont une ligne définie de façon globale.

En qualité de candidat, permettez-moi de vous présenter les valeurs auxquelles je crois plus spécifiquement. Celles-ci s’articulent sur les thèmes principaux qui nécessitent une attention politique afin de poursuivre le développement du district de Nyon.

MES ENGAGEMENTS POLITIQUES PRINCIPAUX

  1. Faire entendre la voix du district de Nyon au niveau cantonal
  2. Obtenir des améliorations environnementales et urbanistiques
  3. Augmenter la part de loyers abordables sur La Côte
  4. Promouvoir nos ressources énergétiques (cogénération)
  5. Favoriser la politique de transports publics
  6. Mise en place d’infrastructures pour le tourisme doux et familial
  7. Encourager les initiatives d’échanges de services

 MES VALEURS

  • M’investir au quotidien pour la population et le district
  • Respecter la démocratie et les différents courants de pensée
  • Favoriser le dialogue avec les autorités et la population
  • Respecter les lois et règlements
  • Oser sortir des sentiers battus, innover
  • Prendre des risques mesurés
  • Communiquer sur mes actions et encourager le dialogue
  • Être un interlocuteur de haut niveau maîtrisant ses sujets
  • Donner la priorité aux intérêts de la collectivité

MA VISION

  • Garantir un confort et le bien-être aux concitoyens
  • Favoriser les échanges respectueux et le vivre ensemble
  • Assurer le maintien de l’attractivité du district de Nyon
  • Promouvoir l’écotourisme et le développement durable
  • Anticiper et préparer le district aux changements
  • Participer activement aux décisions intercommunales, régionales et cantonales
  • Poursuivre les efforts engagés par le groupe des Verts

N’oubliez pas de voter pour une autre vision de la politique et votant la liste 2 et Didier Lohri. Merci

OUI à la LPPPL

Les opposants à la LPPPL utilisent une artillerie lourde et des moyens financiers importants pour capter les voix des citoyens vaudois. Les arguments sont accrocheurs, faisant planer un spectre de la misère pour tous.

Ne soyons pas dupes et prenons le temps de considérer 2 points simples à comprendre et à lire dans le texte de loi.

Fin de mandat à l’UCV

En date du 15 septembre 2016, la présidente de l’UCV et les élus du district de Nyon ont pris connaissance de mon retrait du comité de l’Union des Communes Vaudoises. Les statuts doivent être respectés. Aucune dérogation ne doit être demandée. Il y a assez d’élus pour porter le district dans les discussions cantonales.

Défiscalisation des élus politiques « Motion Kappeler »

Il est constaté, depuis des années, que la fonction de municipal n’est plus attractive. Il y a un sentiment, de la part des élus en place, qu’il existe de plus en plus de difficultés à repourvoir les sièges vacants. Plusieurs analyses ont été faites pour tenter de trouver une ou des réponses à ce problème.

La Région mais à quel prix !

Suite aux différents articles de presse des dernières semaines, il a été abordé le problème du PIR (Plan d’Investissement Régional). A plusieurs reprises, il est fait mention de la commune de Bassins et de son porte-parole. Permettez-moi de soulever 9 points, auxquels personne ne daigne répondre.

Tentons de comprendre la péréquation vaudoise

Il est important d’admettre le principe que le Canton reporte sur les Communes des charges financières liées à des tâches définies de manière précise ou discutable. Le but n’est pas de juger le bien-fondé de cette répartition mais d’expliquer le mécanisme retenu par la péréquation 2011.

Remerciements aux Citoyennes et Citoyens de Bassins

Permettez-moi de vous remercier pour ce fantastisque résultat à l’élection du 13 mars 2011. C’est un signe fort que vous me donnez. Le taux de participation de 50% est un élément supplémentaire à juger de la confiance que vous m’accordez. Un grand bravo à mes colistiers et aux conseillers communaux est à formuler.

Elections municipales 2011

En cette période électorale communale, plusieurs personnes se sont approchées en me demandant :
qu’est-ce qui motive encore votre engagement en politique? C’est le seul échelon politique qui permet d’avoir une idée, de convaincre la majorité de la population du bien-fondé de cette proposition et de pouvoir tout mettre en œuvre pour la réaliser.

C’est toujours avec la même fougue que j’apprécie trouver des innovations dans l’intérêt de la collectivité.

Bilan de la législature 2006-2011 à Bassins

La fin de législature approchant et la période électorale vivant son paroxysme, permettez-moi de vous présenter le bilan de la législature 2006-2011. En 2006, des objectifs, que vous retrouverez ci-dessous, ont constitué la base du travail de la Municipalité de Bassins. Malgré les quelques commentaires. peu élogieux parfois, à notre égard, il faut remercier mes collègues municipaux et les conseillers communaux.

Autre vison de la 3ème voie CFF

A la lecture des programmes des partis, il est intéressant de constater que tous parlent de transports et de la création de la 3ème voie CFF entre Lausanne et Genève. Il est pertinent de se poser la question de savoir comment de gauche à droite, ce sujet n’a pas été une simple formalité lors des discussions de la consultation des CFF. Il faut que le peuple se rende compte qu’au moment des consultations (époque ô combien importante), les députés régionaux ne sont pas montés dans le train. Ce phénomène est classique car il en a été de même pour d’autres sujets comme le découpage territorial.

RER Vaudois

En ce début septembre, après un échange de courrier très soutenu au sujet de la 3ème voie CFF, un député, ami d’enfance, m’a fait part de l’agacement de certains édiles régionaux par rapport à mes coups de plume acerbes. Il me fit part qu’ils avaient l’impression que je dénigrais leur travail. En quelques termes un peu plus relevé, il exprima clairement leur ras-le-bol.

Réponse toujours à Monsieur le député Favez sur Vaud-Libre

Toujours au sujet d’une réponse à un courrier des lecteurs du La Côte au sujet de Vaud-libre du 9 juin 2006. Les propos de Monsieur Favez concernant Vaud-Libre me font plaisir. Il mentionne qu’il a enfin compris le sens de ma démarche mais malheureusement il se trompe.